En surface, Nate, joué par Taron Egerton Elle montesemble un père idéal. Il ramasse sa fille de 11 ans, Polly (Ana Sophia Heger), à l’école. Il teint de manière ludique orange vif. Il lui enseigne la meilleure façon de tenir une batte de baseball. Et quand ils conduisent ensemble dans sa voiture, il lui dit fermement de mettre sa ceinture de sécurité.
Dans le contexte, c’est une autre affaire. Récemment libérée de prison, Nate ramasse Polly parce que sa mère et son beau-père viennent d’être brutalement assassinés par des personnes associées au chef de gang aryen qu’il a tué pendant son séjour. Il a changé sa couleur de cheveux pour jeter les criminels et la police sur sa piste. Il lui apprend à tenir la batte pour ne pas jouer au ballon, mais à maîtriser un attaquant potentiel (le frapper dans les genoux puis, quand il tombe, sur le dessus de sa tête). Et la raison pour laquelle il lui dit de boucler sa ceinture de sécurité est qu’il est engagé dans une poursuite en voiture à grande vitesse.
Elle monte
La ligne de fond
Un thriller graveleux avec un cœur battant.
Date de sortie: Vendredi 1 août
Casting: Taron Egerton, Ana Sophia Heger, Rob Yang, Odessa A’zion, David Lyons, John Carroll Lynch
Directeur: Nick Rowland
Scénaristes: Jordan Harper, Ben Collins, Luke Piotrowski
Classé R, 2 heures
Ce sont les dichotomies du thriller graveleux de Nick Rowland, et je veux dire graveleux, à thriller basé sur le roman primé de Jordan Harper 2017. D’une part, Elle monte est un drame criminel du Nouveau-Mexique qui fait Briser le mauvais ressemble à des divertissements familiaux. D’un autre côté, c’est un portrait finalement touchant du lien croissant entre un père criminel et la jeune fille qu’il a à peine eu la chance de connaître.
Dire que le film réussit davantage dans ce dernier département n’est pas léger. Le réalisateur, qui a géré un territoire similaire dans les années 2020 Calme avec les chevauxgère admirablement les aspects de thriller. Mais la dynamique de l’intrigue semble finalement très familière, y compris la trahison de Nate par une ex-petite amie (Odessa A’zion); Le flic déterminé (Rob Yang) à Pursuit qui souhaite son aide à fermer une opération massive de laboratoire de méthamphétamine; et le shérif tordu (John Carroll Lynch) qui obtient un coup de pied torturant et assassinant des gens.
Pourtant, la relation entre le Nate sujet à la violence et la petite fille qu’il est déterminée à protéger, même si elle finit par le protéger parfois, s’avère convaincante du premier moment à dernier. Une grande partie du mérite revient aux performances du charismatique Egerton, qui affiche une puissance émotionnelle et physique féroce, et le jeune Heger, projetant le type de gamme que la plupart des acteurs adultes envieraient. Son Polly, craignant pour son père alors qu’elle l’accompagne sur une série d’événements qui coiffait les cheveux – y compris le regarder voler un dépanneur et se faire tirer dessus, mais pas avant de voler pensivement un bar Snickers pour elle – est le cœur et l’âme du film.
Il y a aussi des virages de soutien vifs de Yang, sous-estimé canalement en tant que législatif qui n’a aucune compression pour mettre Nate en danger mortel au laboratoire de méthamphétamine («c’est Troy, j’ai besoin d’un cheval», explique-t-il vraiment le fait de ne pas avoir de mal à vivre pour une imprimante de moutache de fer à cheval d’un homme qui n’a pas de problème.
Bien qu’il aurait pu prendre un peu le rythme du film, Rowland révèle un sens visuel vif, en particulier avec un excellent tir de suivi impliquant Heger qui coule frénétiquement au premier plan alors qu’une bataille d’incendie intense se déroule derrière elle.