Ce fut un plaisir particulier de regarder l’épanouissement de la carrière d’acteur de Nick Offerman ces dernières années. L’acteur, qui est devenu célèbre avec sa performance hilarante droll en tant que Ron Swanson dans la série à succès Parcs et loisirsn’a jamais cessé de fonctionner. Mais son talent a vraiment augmenté ces derniers Le dernier de nous.
Maintenant, avec les débuts de Christian Swegal Souverain – La réception est la première mondiale au Tribeca Film Festival avant sa sortie en théâtre plus tard ce mois-ci – il a reçu son rôle de film le plus viande à ce jour. Et mon garçon, fait-il courir avec.
Souverain
La ligne de fond
Topique et dérangeante.
Lieu: Tribeca Film Festival (récit des projecteurs)
Casting: Nick Offerman, Jacob Tremblay, Dennis Quaid, Martha Plimpton, Thomas Mann, Nancy Travis
Réalisateur: Christian Swegal
Classé R, 1 heure 40 minutes
Il joue un rôle pour lequel il a une expérience antérieure. Dans Parcs et recson personnage était un libertaire antigouvernemental. Mais ce qu’il a joué pour la comédie alors est désormais mortel dans ce drame inspiré par des événements réels. Le film, qui se déroule en Arkansas en 2010, raconte l’histoire de Jerry Kane, un «citoyen souverain» autoproclamé qui a proséré contre les lois et l’autorité gouvernementale via des apparitions sur des talk-shows de radio de droite et des voyages dans les séminaires du Midwest sur les droits de propriété et à éviter les taxes. C’est comme si Ron Swanson s’était complètement déroulé dans le virage.
Un couvreur veuve et au chômage, Jerry fait constamment l’expulsion et les écoles à domicile son fils adolescent Joe (Jacob Tremblay, Chambre). Il est un père aimant mais disciplinaire, sortant son fils pour dire ses prières tous les soirs et lui rappelant: «N’oubliez pas JC» comme beaucoup d’autres de ses semblables, il croit avec ferveur aux droits des armes à feu, possédant illégalement un AR-15 qui lui cause des ennuis lorsque lui et son fils sont arrêtés pour un arrêt de circulation de routine.
Il a rapidement arrêté, Joe étant temporairement placé dans une maison pour mineurs, où il commence à ressentir un soulagement de l’intensité implacable de son père. Le chef de la police locale, John (Dennis Quaid, insufflant sa représentation avec de la gravité discrète), dit de façon absolument à Joe: « Il me semble que votre père n’aime pas autant le gouvernement. Il a des… idées intéressantes. » Lorsque Jerry est renfloué plusieurs jours plus tard par sa petite amie surfante Lesley Anne (Martha Plimpton, affectant chaleureusement), il est encore plus extrémiste qu’auparavant, menaçant de poursuivre le flic qui l’a arrêté, refusant de reconnaître l’autorité du tribunal et sortant de la salle d’audience pendant son procès.
La réalisatrice-scelaire Swegal intercasse l’histoire de Jerry et de son fils avec des scènes impliquant le chef de la police et son fils adulte Adam (Thomas Mann), qui se forme dans la force. Leur relation est aimante mais tendue, John fustige constamment son fils pour prendre son nouveau-né chaque fois qu’il pleure. Pendant longtemps, il est difficile de comprendre pourquoi le récit est divisé dans des directions aussi distinctes, jusqu’à ce que les histoires s’entrelacent avec tort dans le point culminant bouleversant du film.
Fine plus que jamais dans son portrait d’une marge radicalisée de la société se repensant contre l’autorité gouvernementale, Souverain aurait pu bénéficier d’un peu plus de trame de fond quant à ce qui a placé Jerry sur son chemin non conformiste. Mais il fonctionne néanmoins bien à ses propres termes, en particulier dans sa représentation des relations compliquées entre les pères et leurs fils.
Offerman est tout simplement formidable, fournissant le charisme démesuré nécessaire pour rendre la prise de Jerry compréhensible sur les personnes vulnérables tout en transmettant l’humanité qui explique pourquoi son fils et sa petite amie lui sont fidèles. L’approche de l’amour dur de son personnage est effectivement dramatisée dans une scène dégressive mais puissante dans laquelle il oblige doucement mais fermement Lesley Anne à affronter sa peur terrifiante des chevaux. Tremblay, affichant une présence à l’écran de façon convaincante, est tout aussi efficace que le fils qui aime suffisamment son père troublé pour suivre tragiquement ses traces.
Avec également une Nancy Travis, malheureusement sous-utilisée (mais toujours bienvenue), Souverainn profite grandement de son approche empathique et non exploitée de son sujet controversé. C’est une visualisation inconfortable mais nécessaire.