Quelqu’un voit un Transformateurs Le film sait qu’il faut s’attendre à de nombreux exemples de transformations robotiques imaginatives qui donnent leur nom aux films. Mais à l’exception de celui de 2018 Bourdonils ont été des ennuyeux de longue date, encombrants, offrant peu à ceux qui ne sont pas des fans enragés des jouets Hasbro. C’est donc un plaisir d’annoncer que le premier long métrage d’animation de la série en près de 40 ans s’avère une histoire d’origine tout à fait divertissante que même les non-initiés peuvent apprécier. Outre le rauque, de rigueur séquences d’action, Transformers 1 propose de nombreuses blagues pleines d’esprit, tant verbales que visuelles, et — surprise, surprise — une émotion authentique. Considérez cela comme une franchise revitalisée.
Les histoires d’origine peuvent être réussies ou ratées (Furieuxquelqu’un ?), mais comme le récent Mutant adolescent Tortues Ninja film, l’animation semble avoir fait des merveilles ici. Ce n’est pas terriblement choquant, étant donné que les personnages humains du précédent Transformateurs les films ont toujours semblé superflus.
Transformers 1
L’essentiel
Sans doute le meilleur de la série.
Date de sortie:Jeudi 20 septembre
Casting: Chris Hemsworth, Brian Tyree Henry, Scarlett Johansson, Keegan-Michael Key, Steve Buscemi, Laurence Fishburne, Jon Hamm
Directeur: Josh Cooley
Scénaristes: Eric Pearson, Andrew Barrer, Gabriel Ferrari
Classé PG, 1 heure 43 minutes
Si vous vous êtes déjà demandé comment l’antipathie entre Optimus Prime et son ennemi juré Megatron est née, ce film est fait pour vous. Superbement réalisé par Josh Cooley (Histoire de jouets 4), il présente les personnages alors qu’ils n’étaient que de simples robots humbles et non-transformateurs et des mineurs souterrains sur leur planète natale Cybertron. (Au fait, si l’un de ces détails s’avérait inexact, sachez que ce critique n’est en aucun cas un Transfan.) Ils n’ont pas encore pris leurs noms emblématiques, et sont ici connus sous le nom d’Orion Pax (Chris Hemsworth, remplissant aimablement les estimables chaussures de Peter Cullen) et D-16 (Brian Tyree Henry). Au début de l’histoire, les deux forment une amitié rapide, alimentée par leur animosité commune pour les Transformers d’élite qui les dominent.
L’ambitieux Orion Pax prend le risque de se rendre sur la surface interdite pour tenter de récupérer la Matrice de Leadership perdue, qui, espère-t-il, rétablira le flux du précieux Energon nécessaire à leur survie. Il est accompagné d’un D-16 réticent, ainsi que de ses collègues Elita-1 (Scarlett Johansson, prouvant une fois de plus que sa voix est un bien très précieux) et de B-127 (Keegan-Michael Key), un homme qui parle très vite et qui plaisante. Ce dernier sera plus tard connu sous le nom de Bumblebee, mais pour l’instant il aime se faire appeler « Badassatron ».
Tout cela mène à la découverte que le chef de la société, Sentinel Prime (Jon Hamm, d’une pompe amusante), n’est pas la figure d’autorité qu’il prétend être. Dans le conflit existentiel qui s’ensuit, le quatuor rencontre également des personnages tels que l’ancien homme d’État Alpha Trion (Laurence Fishburne) et le Decepticon naissant Starscream (Steve Buscemi, dont la voix singulièrement excentrique devrait être requise dans tous les films d’animation).
Les scénaristes Eric Pearson, Andrew Barrer et Gabriel Ferrari mêlent habilement des éléments comiques et dramatiques dans leur histoire trépidante, qui dépeint la rupture finale entre les deux personnages principaux de manière classique. Le film est très divertissant, car il renonce heureusement à la tendance actuelle des références à la culture pop en matière d’animation au profit de blagues à l’emporte-pièce livrées de manière pince-sans-rire. (Lorsque l’un des mineurs se réveille après s’être blessé lors d’une tentative malheureuse dans une compétition de course, il demande : « Ai-je gagné ? » « Vous avez participé », lui répond-on.)
L’animation par ordinateur en 3D est une merveille à voir, depuis la conception des personnages (il s’agit des Transformers les plus expressifs à ce jour) jusqu’aux séquences d’action élaborées (la course est un point fort) en passant par les décors variés qui donnent l’impression que les environnements sont pleinement habités. Il y a tellement d’imagination visuelle à l’œuvre que plusieurs visionnages semblent indispensables pour tout saisir.
Mais les visuels, aussi impressionnants soient-ils, ne serviraient pas à grand-chose si Transformateurs activésIl n’y avait pas non plus une histoire bien ficelée, des personnages multidimensionnels et des dialogues pleins d’esprit qui rappellent Pixar à son meilleur. Et c’est quelque chose que je n’aurais jamais pensé dire à propos d’un Transformateurs film.
Crédits complets
Production : Paramount Animation, Hasbro, New Republic Pictures, de Bonaventura Pictures
Distributeur : Paramount Pictures
Avec : Chris Hemsworth, Brian Tyree Henry, Scarlett Johansson, Keegan-Michael Key, Steve Buscemi, Lawrence Fisburne, Jon Hamm
Réalisateur : Josh Cooley
Scénaristes : Eric Pearson, Andrew Barrer, Gabriel Ferrari
Producteurs : Lorenzo di Bonaventura, Tom DeSanto, Don Murphy, Michael Bay, Mark Vahradian, Aaron
Dern
Producteurs exécutifs : Steven Spielberg, Zev Foreman, Oliver Dumon, Bradley J. Fischer, BJ Farmer, Matt Quigg
Décorateur : Jason Scheier
Rédactrice en chef : Lynn Hobson
Compositeur: Brian Tyler
Classé PG, 1 heure 43 minutes