Des plaisirs coupables et des faux pas aux souvenirs spéciaux – il y a toutes sortes de joies et de hauts, mais aussi l’un ou l’autre défi, à assister au Festival de Cannes.
Avant la 75e édition de l’événement, Bill Bromiley, directeur de Saban Films, a partagé ses idées, ses expériences et ses conseils sur Cannes et le festival avec THR.
Qu’est-ce qui vous a le plus manqué à Cannes ?
L’énergie du peuple, qui s’est renforcée cette année après une pandémie de deux ans.
Quel restaurant ou bar as-tu manqué ?
Le petit kiosque à sandwich en face de notre appartement (en gardant l’emplacement confidentiel pour des raisons de surpopulation). C’est le meilleur cappuccino du coin !
Y a-t-il une boutique en particulier que vous avez manquée ?
Le marché (film), pas l’épicerie.
L’année dernière, Cannes était en juillet ; cette année, c’est le mois de mai. Une préférence ?
Certainement mai, car juillet est trop chaud et cela ressemble à des vacances d’été.
Qu’est-ce que vous n’avez PAS manqué à Cannes ?
Essayer de se rendre à une réunion juste avant une première sur le tapis rouge et ne pas pouvoir se déplacer sur le trottoir.
Les réunions Zoom vous manqueront-elles ou sont-elles là pour rester ?
Zoom ne va nulle part !
La meilleure affaire à Cannes ?
Est-ce qu’il y a un?
Le plus gros faux pas ?
Aller à mes premières réunions le matin et voir les festivaliers/fêtards dans leur smoking de la veille.
Votre moment « unique à Cannes » ?
Traverser le hall de l’Hôtel Du Cap et voir en 20 secondes Mick Jagger, Robert De Niro et Angelina Jolie.
Cannes plaisir coupable ?
Gelato, après avoir trop mangé lors d’un dîner tardif.
Une chose sans laquelle vous ne voyagerez pas, à part votre téléphone ?
Mes chaussures de course, car les courses matinales le long de la Méditerranée sont magiques.