Le 29 juillet 1983, Warner Bros. a dévoilé la comédie dirigée par Harold Ramis dans les salles de cinéma, où elle lancerait ensuite une franchise de suites et de retombées de Vacation. La critique originale du Hollywood Reporter est ci-dessous:

Il n’y a rien de pire que des vacances en famille. Autrement dit, à l’exception de cette excursion délicieusement pleine d’esprit de Warner Bros., qui peut s’avérer une aubaine pour les participations familiales, une aubaine pour les ventes de l’Auto Club à travers le pays et certainement un coup de pouce pour les entrées au box-office. C’est simple mais merveilleusement identifiable : papa, maman, frère et sœur font leurs valises pour l’été (contre leurs réservations personnelles) et sautent dans le wagon pour un voyage à travers le pays. La destination convenue : Wally World, un parc d’attractions ultramoderne à Los Angeles

Cette excursion délirante et divertissante a été déclenchée par l’écrivain National Lampoon John Hughes. Il a écrit un divertissement quatre étoiles, le genre de chose dont même le plus grincheux des passagers arrière serait d’accord pour dire qu’il valait la peine d’être visité. Les vacances de Lampoon est le regard le plus drôle, le plus méfiant mais le plus affectueux sur l’Amérique cartographiée depuis longtemps. Harold Ramis (connu pour ses contributions à Rayures) dirige avec une intelligence intelligente et perspicace.

Chevy Chase dans le rôle confus et décisionnel de papa et Beverly D’Angelo dans le rôle de sa femme perspicace et tolérante sont définitivement des éléments de premier plan. Naturellement, les enfants (Anthony Michael Hall et Dana Barron) fournissent les commentaires sournois de la banquette arrière. Indulgents et agités, ils fournissent des commentaires directs, en particulier lorsque tante Edna (Imogene Coca) est calée entre eux.

Comme dans les meilleures vacances planifiées, les choses ne se passent pas comme prévu. Une erreur de sortie fait atterrir ces habitants du Midwest aux grands yeux au milieu d’un quartier de Saint-Louis qui ferait réfléchir même Leon Spinks. Des visites obligatoires des plaines au mouton noir de la famille se succèdent, donnant aux enfants l’occasion d’échanger des notes précoces avec leurs cousins ​​de la campagne. Randy Quaid en tant que beau-frère porteur de Coors est fou d’inspiration dans une scène d’arrêt nécessaire et relatable.

Intrigante, mais non identifiable par expérience, est l’apparition du super modèle Christie Brinkley, filant dans une Ferrari rouge. Elle suffit à détourner les yeux de la route.

C’est un Vacances voyage à ne pas manquer. — Duane Byrge, initialement publié le 29 juillet 1983.

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