Agathe (Camille Rutherford), la charmante protagoniste de la agréable comédie romantique de Laura Piani Jane Austen a détruit ma vierêve d’être écrivain. Libraire à Paris, elle passe ses journées à parcourir les piles et à absorber les paroles des grands littéraires. Mais comme de nombreux auteurs en herbe timident leur talent, Agathe gribouille seulement dans son temps libre et refuse de laisser quelqu’un lire son travail. Lorsque sa meilleure amie et collègue Felix (Pablo Pauly) découvre l’une de ses ébauches, il soumet une application à une prestigieuse résidence d’écriture établie au nom d’Austen au nom d’Agathe. Une fois qu’elle est acceptée, sa décision d’assister change sa vie.

Avec un grand charme, Piani façonne un film qui est à la fois une ode à la figure littéraire du XIXe siècle et une lettre d’amour à l’écriture. Jane Austen a détruit ma vie ne réinvente pas les règles de la rom-com, mais elle trouve des moyens de rendre le genre propre. Agathe est notre avance maladroite et légèrement maladroite (de la variété Bridget Jones) dont le chemin vers la compréhension de soi a autant à voir avec sa vie créative que son romantique. Piani, qui a également écrit le scénario, comprend des moments du scribe au travail – c’est-à-dire de procrastination, de ruminer et de dissocier parfois de la terreur de la page vierge. Ces scènes annuisent Agathe, la comprenant de la détermination entarré de Jo March.

Jane Austen a détruit ma vie

La ligne de fond

Doux rom-com animée par une héroïne délicieuse.

Date de sortie: Vendredi 23 mai (Limited), vendredi 30 mai (large)
Casting: Camille Rutherford, Pablo Pauly, Charlie Anson, Annabelle Lengronne, Liz Crowther, Alan Fairbairn
Directeur-Screenwriter: Laura Piani

Classé r, 1 heure 34 minutes

En termes d’auteur éponyme, Jane Austen a détruit ma vie se modélise vaguement après Fierté et préjugés. Agathe aborde l’amour avec la passion d’Elizabeth Bennet, se délectant de la fantaisie et se réjouissant de l’inattendu. Elle est également un peu têtue et aussi mariée à ses premières impressions. Quand Agathe arrive à la résidence, elle rencontre Oliver (Charlie Anson), une descendante d’Austen, directrice de programme pour la retraite des écrivains et une sorte de M. Darcy. Leur rencontre initiale est aigri par Oliver, qui enseigne la littérature dans une université, appelant son grand grand grand œuvre de grande tante surestimée et limitée. Agathe ne prend pas avec bonté cette interprétation, comme elle est dans un type de misogynie familier, et il trouble son impression d’Oliver.

Les aficionados du genre sauront comment le reste se déroule. Après une introduction tirée qui nous emmène de Paris (où vit agathe) dans une petite ville anglaise côtière (où se tient la retraite), Jane Austen a détruit ma vie passe à la vitesse supérieure. Piani se livre, peut-être un peu trop, dans la culture d’une résidence. Elle montre des débats philosophiques animés entre les participants et romance le processus avec des photos méditatives d’écrivains contemplant leur travail dans les champs herbeux. Ces scènes contrastent fortement avec celles d’Agathe, qui, contrairement à ses pairs, ont du mal à mettre du stylo sur papier. On souhaite que Piani passe plus de temps avec le personnage central, en particulier en ce qui concerne un chagrin personnel qui devient crucial pour son histoire.

Piani démontre plus de confiance et moins de précision quand Jane Austen a détruit ma vie se concentre sur la vie romantique d’Agathe. Rutherford (Anatomie d’une chute) se réjouit en tant qu’héroïne maladroite dont les expériences avec l’amour vacille entre les moments extrêmement embarrassants et les expériences douces. Piani ouvre le film en taquinant un lien entre Felix et Agathe, une histoire classique d’un lothario et de son meilleur ami, mais elle fait également allusion à quelque chose de brassage entre Oliver et Agathe. Piani ne fait pas pencher sa main trop tôt, et c’est un témoignage de sa direction intelligente ainsi que des performances de Rutherford, Pauly et Anson que l’une de ces combinaisons semble complètement plausible.

Avec deux intérêts amoureux potentiels et une ébauche de son roman dû, Agathe se retrouve à jongler avec plus qu’elle ne s’était négociée. Jane Austen a détruit ma vie La suit alors qu’elle lutte avec son propre sentiment d’insuffisance et essaie de comprendre ce qui est important pour elle. Il y a un gag en cours d’exécution qu’en raison de la prose classique d’Agathe, les directeurs du programme (Oliver et ses parents vieillissants) pensaient qu’elle pourrait être plus âgée. Piani accorde également une attention particulière à la nature rêveuse de la résidence, en utilisant des plans rapprochés des meubles ornés et des jardins entretenus pour montrer comment ce lieu est un monde en soi.

En collaboration avec le directeur de la photographie Pierre Mazoyer, Piani crée un look qui ressemble aux comédies romantiques des premiers Aughts. Il y a beaucoup en termes de gros plans intimes, surtout lorsque notre avance et son éventuel prétendant (s) échangent des regards ou des touches légères, et une partition fantaisiste composée par Peter von Poehl. Mais le vrai tirage dans Jane Austen a détruit ma vie est Agathe, un protagoniste convaincant dont la passion pour la littérature et l’amour nous maintient suffisamment engagés.

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