Joey McFarland s’est excusé après avoir suscité la controverse pour avoir foulé le tapis rouge à la Émancipation première avec la photo originale d’un esclave connu sous le nom de Peter qui a inspiré le film.
« Je m’excuse de tout cœur auprès de tous ceux que j’ai offensés en apportant une photo de Peter à la Émancipation première », a déclaré dimanche le producteur nominé aux Oscars dans un post Instagram. « Mon intention était d’honorer cet homme remarquable et de rappeler au grand public que son image n’a pas seulement provoqué le changement en 1863, mais résonne encore et favorise le changement aujourd’hui. »
La photographie montre un homme du nom de Peter, qui a échappé à l’esclavage, avec des cicatrices sur le dos après avoir été fouetté à plusieurs reprises. La photo a été connue à la fois sous le nom de « Whipped Peter » et « The Scourged Back ».
« Après avoir découvert l’histoire d’origine de Peter avec l’aide d’historiens diligents, j’ai passé les dernières années à travailler avec le Émancipation temps créatif afin de donner vie à son histoire afin que le public mondial ait l’occasion d’apprécier son héroïsme. J’espère que mes actions ne détourneront pas l’attention du message du film, de l’histoire de Peter et de l’impact qu’il a eu sur le monde », a poursuivi McFarland dans le post.
« Tout au long de la recherche et du développement d’Emancipation, j’ai découvert des photographies d’individus négligés et historiquement importants dont les histoires devaient également être racontées. Une photographie, de Martin Delaney, est prêtée à la National Portrait Gallery et est actuellement exposée. Mon plan a toujours été de donner les photographies à l’institution appropriée, en consultation avec la communauté, et je crois qu’il n’y a pas de meilleur moment pour commencer ce processus que maintenant.
La Émancipation Le producteur a terminé sa déclaration en disant: «Ces photographies, qui existaient avant moi, seront là longtemps après mon départ; ils appartiennent au monde. Mon objectif a toujours été de trouver la bonne résidence permanente et de m’assurer qu’elle soit accessible, afin d’honorer son importance. Et surtout, que les personnes représentées sur les photographies soient rappelées et que leurs histoires soient racontées avec la plus grande dignité et le plus grand respect.