Vous pensez que la nouvelle salle de bal de Trump est controversée ? Hollywood fait exploser le 1600 Pennsylvania Avenue depuis près de cinq décennies. Voici les 10 démolitions les plus spectaculaires à l’écran.
Publié le 28 octobre 2025
Fête de l’Indépendance, 1996.
20th Century Fox Film Corp./Avec la permission d’Everett Collection
Si les images d’actualité de la démolition de l’aile Est de la Maison Blanche vous semblent étrangement familières, il y a une bonne raison. C’est parce qu’au cours des 45 dernières années, Hollywood a fait exploser le 1600 Pennsylvania Avenue de toutes les manières imaginables, depuis des attaques terroristes à la roquette jusqu’aux rayons de plasma extraterrestres, en passant même par son écrasement avec un porte-avions lancé par un tsunami. En fait, le seul désastre qui ait été trop scandaleux pour que même Roland Emmerich puisse l’imaginer est celui qui se déroule actuellement en temps réel : la salle de bal de Donald Trump.
Voici les 10 démolitions les plus spectaculaires de la Maison Blanche à l’écran.
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Superman II (1980)


Crédit d’image : Warner Bros. Pictures/Photofest
Avant que Roland Emmerich ne se consacre à l’aplatir, la suite de Richard Lester a donné à la Maison Blanche sa première véritable raclée. Le général Zod et ses acolytes kryptoniens prennent d’assaut Washington, démolissent les intérieurs et exigent que le président s’agenouille devant eux.
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Jour de l’indépendance (1996)


Crédit d’image : 20thCentFox/Courtesy Everett
Une soucoupe extraterrestre lumineuse survole DC, libère un faisceau de plasma et vaporise la Maison Blanche en un seul coup à couper le souffle. L’image est devenue l’un des visuels marketing déterminants de la décennie et a fait d’Emmerich le principal expert en démolition d’Hollywood.
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Attaques sur Mars ! (1996)


Crédit d’image : Warner Bros./avec la permission d’Everett Collection
Sorti la même année que Jour de l’indépendancela satire de science-fiction de Tim Burton a transformé la même configuration en punchline. Les Martiens descendent, détruisent le bâtiment avec un rayon mortel caricatural et empalent le président (joué avec une joie maniaque par Jack Nicholson) par l’arrière avec une main martienne mécanique détachée pendant les négociations de paix.
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Gauche Derrière : un monde en guerre (2005)


Crédit d’image : Avec l’aimable autorisation
Dans ce thriller chrétien directement en vidéo, le Bureau Ovale est bombardé par les sbires paramilitaires de l’Antéchrist. Louis Gossett Jr., dans le rôle du président Gerald Fitzhugh, survit au siège et prononce un discours final passionné depuis les ruines fumantes de la Maison Blanche.
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2012 (2009)


Crédit d’image : Sony Pictures/Avec la permission d’Everett Collection
Emmerich imagine la fin du monde, avec un méga-tsunami qui projette un porte-avions directement sur la Maison Blanche. Désormais, détruire le lieu était devenu sa carte de visite.
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L’Olympe est tombé (2013)


Crédit d’image : FilmDistrict/Courtesy Everett Collection
Antoine Fuqua met en scène un Mourir dur– un siège de style avec Gerard Butler comme héros solitaire. Des commandos nord-coréens attaquent Washington, écrasent un avion cargo sur la pelouse sud et réduisent la Maison Blanche en ruines avant de prendre le président en otage.
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La Maison Blanche en panne (2013)


Crédit d’image : Reiner Bajo/Columbia Pictures/Courtesy Everett Collection
Ce même été 2013 a vu naître la version concurrente d’Emmerich de l’histoire de la Maison Blanche assiégée. Channing Tatum incarne un policier de Washington DC qui finit par protéger le président Jamie Foxx au milieu d’explosions, de crashs d’hélicoptères et de tirs de chars alors qu’une milice insurgée tente de renverser le gouvernement.
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GI Joe : représailles (2013)


Crédit d’image : Industrial Light & Magic/Paramount Pictures/Courtesy Everett Collection
Dans ce rêve fiévreux alimenté par Hasbro, le méchant Cobra s’infiltre dans le bureau ovale, remplace le président par un imposteur et redécore la Maison Blanche avec des drapeaux serpents. L’équipe de Joe finit par prendre d’assaut la capitale, où la façade de la Maison Blanche est détruite dans la bataille décisive.
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X-Men : Jours du futur passé (2014)


Crédit d’image : 20th Century Fox Film Corp./Courtesy Everett Collection
Dans cette préquelle qui se déroule en 1973, c’est Magneto contre Richard Nixon (c’est l’acteur Mark Camocho avec des bajoues prothétiques), le président anti-mutant qui donne le feu vert à une armée de robots tueurs. Pour l’arrêter, Magneto arrache le stade RFK de ses fondations et le laisse tomber sur la Maison Blanche.
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Jour de l’Indépendance : Résurgence (2016)


Crédit d’image : 20th Century Fox Film Corp./Courtesy Everett Collection
Vingt ans plus tard, les extraterrestres reviennent – plus gros, plus bruyants et d’une manière ou d’une autre moins satisfaisants. Une scène dans laquelle la Maison Blanche est écrasée par la jambe d’atterrissage du vaisseau mère extraterrestre a été filmée mais finalement coupée de la version finale, laissant le bâtiment (en grande partie) intact cette fois.
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