Les électeurs canadiens semblent avoir donné aux libéraux gouvernants, dirigés par le banquier et homme d’affaires central d’Owlish, Mark Carney, un quatrième mandat après une élection parlementaire à un snap provoqué par les menaces du président américain Donald Trump de prendre le dessus sur le Canada.

Lundi soir, des bureaux de décision dans les principaux radiodiffuseurs canadiens comme CBC, CTV et Actualités mondiales Faire des projections selon lesquelles les libéraux formeraient le prochain gouvernement peu après 22 heures, lorsque les sondages en Colombie-Britannique ont fermé. Mais les bureaux de décision dans les principaux réseaux de télévision ont cessé de projeter si Carney, voté dans le prochain chef du Canada, verrait ses libéraux gagner une majorité pure et simple ou mettrait fin aux élections avec un gouvernement minoritaire et aurait besoin de partenaires de coalition pour gouverner.

Avec le sondage préélectoral pointant vers une forte victoire électorale pour le parti conservateur de Pierre Poilievre, les Canadiens se sont soudainement saccagés par Trump et ses tarifs, les guerres ont plutôt renvoyé Carney et les libéraux au pouvoir à Ottawa.

Les libéraux ont rétabli leur fortune avec les électeurs canadiens après que le Premier ministre Justin Trudeau a démissionné pour faire place à Carney, tout comme Trump a déclenché son assaut de politique commerciale contre son voisin du Nord. Cela a incité une vague de nationalisme à se laver les Canadiens caractérisés par un moment de haut du coude, qui est un terme de hockey sur glace pour augmenter vos poings et vous protéger.

Et Carney, avec le tempérament et le ton d’un ancien chef de la Banque du Canada et de la Banque d’Angleterre, semble avoir remporté les élections alors que les Canadiens ont jugé qui était le meilleur de protéger le Canada contre Trump et de représenter le pays à travers la table du président américain lors des prochains pourparlers commerciaux de la Canada américaine.

Poilievre, le chef du Parti conservateur, en revanche, pendant la campagne, a vu son nombre de sondages tomber nettement alors que les Canadiens concluaient qu’il ressemblait trop à Trump alors que le président américain visait son voisin du Nord avec des menaces économiques.

Poilievre a également fait face à des critiques persistantes qu’il n’a pas fait pivoter de sa campagne rude et de style tub contre Carney pour allumer son feu sur Trump et ses tarifs lors d’une campagne électorale fédérale de plus en plus sur Trump et sa guerre commerciale mondiale.

Aussi récent que lundi matin, Trump a répété via son compte de médias sociaux Truth Social un appel au Canada pour devenir le 51St État américain. Cela a rapidement conduit Poilievre à X, pour avertir Trump contre les railleries du Canada. «Le président Trump, restez en dehors de nos élections… Le Canada sera toujours fier, souverain et indépendant et nous ne serons jamais le 51St État », a déclaré le chef conservateur dans son poste.

Carney a également posté sur X lundi alors qu’il s’adressait aux Canadiens nerveux à propos de Trump et de ses railleries d’annexion: « Nous décidons ce qui se passe. Choisissons d’être unis et forts. »

A lire également